Pour les quelques très rares qui passeraient encore par ici, maintenant, c'est sur mon nouveau blog que ça se passe:
jenovefa cuisine et raconte sa vie (un peu)
jeudi 28 février 2013
mardi 17 juillet 2012
Cake chèvre et tomates séchées.
L'épisode du gros con mis à part, c'était assez chouette ce barbecue, et j'avais fait un super cake au chèvre et aux tomates séchées, au cas où il y ait des "sans-viande", ou des végétariens (pas végétaliens: moi je parle de ceux qui mangent encore des oeufs et du fromage), qui sont toujours un peu malheureux en soirée barbecue, parce que c'est un peu le rencart des ogres de barbaque.
Et moi, j'essaie quand même de manger un peu moins de viande, sans devenir une intégriste.
Mon oeuvre.
J'avais que ça comme farine, alors j'ai pris un mélange pour pain aux cinq céréales sans levure et j'ai rajouté de la levure chimique (le sachet rose). Et c'était grave bon. Donc je pense que la prochaine fois, je ferais exprès de prendre du mélange pour pain.
Ingrédients:
-300 grammes de farine aux cinq céréales
-3 oeufs
-Du lait entier
-125 grammes de tomates séchées à l'huile
-Une bûchette de chèvre à pas cher
-Deux cuillères à café d'herbes de Provence.
-Un sachet de levure chimique
Dans un grand saladier, mélanger la farine, la levure, et les oeufs. Rajouter du lait jusqu'à ce que la pâte ne soit plus sèche (environ un demi verre).
Découper le chèvre en dés et les tomates en lanières. Rajouter à la préparation, mélanger. Terminer en mélangeant les herbes de Provence.
Cuire au four, 30 minutes à 180 degrés.
-Un sachet de levure chimique
Dans un grand saladier, mélanger la farine, la levure, et les oeufs. Rajouter du lait jusqu'à ce que la pâte ne soit plus sèche (environ un demi verre).
Découper le chèvre en dés et les tomates en lanières. Rajouter à la préparation, mélanger. Terminer en mélangeant les herbes de Provence.
Cuire au four, 30 minutes à 180 degrés.
dimanche 15 juillet 2012
Le barbecue de la loose
Attention: j'exagère un peu dans le titre. C'était quand même une très bonne soirée, et j'étais contente de mes marinades et de mes cakes - j'y reviendrais - mais il suffit d'un seul gros con pour te gâcher le plaisir. Je m'explique.
Grâce à une quiche qui ne voulait pas qu'on s'approche de son mec (vous me direz, je n'avais pas envie non plus qu'elle s'approche d'Ourson, d'ailleurs je crois que c'est pour ça qu'elle nous faisait la gueule), avec ma mère et Ourson, on s'est retrouvés en bout de table. Avec, en face de nous, le gros con, lesté de sa femme (décolorée au max) et de sa fille.
La copine de ma mère qui nous avait invités avait dit qu'il fallait apporter de quoi faire des grillades pour le barbecue, des accompagnements, ce qu'on voulait.
Le matin même, je suis allée avec Ourson acheter de la viande en vrac que j'ai mise à mariner.
On osait pas l'avouer vraiment, mais vu la régalade que ça promettait d'être, ma viande, on avait pas super envie de la partager.
Mais bon, ça se fait pas, donc on était tous prêts à laisser héroïquement partir ma super viande marinée (avec une viande à bas prix ça relève de la prouesse technique) pour pas jouer les gros égoïstes.
Et le moment venu, on a été parmi les derniers à voir notre viande passer sur le barbecue -la politesse, toujours- et le gros père en face de nous est revenu avec une assiette pleine de barbaque. Nous, à ce stade, on pensait vraiment que la viande était en commun et que s'il revenait avec ça, c'était pour nous en proposer.
En plus il pose l'assiette bien au milieu.
Donc, ma mère, affamée, se saisit d'une saucisse, puis je tends la main pour choper une brochette. J'avais la main dessus, lorsque j'entends:
-En fait, c'est chacun sa viande.
Ah ouais. SUPER. Paye ton ambiance. En fait le gros père voulait pas qu'on prenne sa viande, prévue pour lui et sa femme (soit douze saucisses, quatorze brochettes et une dizaine de côtes de porc).
J'étais un peu humiliée quand même.
Au même moment, la mère goûtait la saucisse qu'il ne l'avait pas vue prendre et trouvait que c'était vraiment de la merde et essayait de la remettre sur l'assiette discrètement.
Donc j'ai reposé la brochette que j'avais à la main en me disant que ça se faisait pas trop quand même, et qu'on était bel et bien en face d'un gros con.
Avec Ourson, on a pris mes marinades, et on est allé squatter le barbecue, vu que tout le monde avait fini de faire griller ses brochettes au gras et au tendon.
Ça sentait trop bon sa mère quand on faisait cuire (ai-je dit que pour ma marinade j'avais du gingembre FRAIS?) et on est revenu, la bave aux lèvres, avec ma super trop bonne viande.
Là, j'étais plus trop en mode partage et échange, j'étais en mode "après moi s'il en reste". Surtout vis à vis du gros con d'en face. Donc j'ai servi largement ma mère, mon mec, moi-même, et j'ai gardé les restants devant nous.
Et là, surprise, hallucination, le gros con nous offre de sa viande.
Euh...
Il se foutrait pas un peu de notre gueule, là?
Si c'est chacun sa viande, pourquoi il nous en propose maintenant, alors que quand j'avais la main dessus, il m'a foutu la honte?
Il aurait pas besoin de se prendre mon pied au cul, par hasard?
Évidemment, on a refusé, ma mère rajoutant à mi-voix "y change d'avis comme de slip le péquenaud", et moi dévisageant sa viandasse en mode "nan mais jamais je boufferais cette merde".
Le gros con insiste:
-Nan mais on prévoit pour soi alors on prévoit toujours plus alors forcément on peut en donner aux aut'.
-Bah voyons. Mais on a pas besoin qu'on nous donne quoi que ce soit. (sous-titre: t'as pas besoin de me faire la charité, ducon).
Je crois qu'il était un peu gêné de ce qu'il s'était passé, parce qu'il nous a aussi offert de son cubi de rosé. (Cet homme était décidément d'un grand raffinement).
Devant ma mère, il y avait la bouteille de Vacqueyras qu'on avait apportée pour partager, mais vu l'ambiance de notre coin de table, bon...
J'ai refusé plus ou moins poliment parce que j'aime pas le vin (et encore moins celui qui ressemble à du récure-évier). En revanche, ma mère:
-Nan, c'est bon, j'ai MA bouteille.
Moi: Ah ben ouais au fait, si c'est chacun sa viande, c'est chacun son pinard!
Puis ma mère et moi avons gueulé à la cantonade que si quelqu'un voulait de la viande marinée, il pouvait se servir. J'en ai même proposé au gros con. Il a refusé.
Par contre, j'ai été largement félicitée pour la qualité de ma marinade.
J'étais assez d'accord.
Par contre c'est pas demain que je vais me sociabiliser.
En revanche, je vais quand même vous filer mes recettes de marinade employées ce soir-là:
La première, j'ai fait fondre 50 gr de miel cristallisé dans une casserole avec deux cuillères à soupe de moutarde. Le tout pour cinq côtes de porc.
Pour la seconde, j'ai mélangé 3-4 cuillères à soupe de sauce soja, le jus d'un citron vert, et des lamelles de gingembre frais. Tout ça pour six tranche de viande de porc sans os.
Grâce à une quiche qui ne voulait pas qu'on s'approche de son mec (vous me direz, je n'avais pas envie non plus qu'elle s'approche d'Ourson, d'ailleurs je crois que c'est pour ça qu'elle nous faisait la gueule), avec ma mère et Ourson, on s'est retrouvés en bout de table. Avec, en face de nous, le gros con, lesté de sa femme (décolorée au max) et de sa fille.
La copine de ma mère qui nous avait invités avait dit qu'il fallait apporter de quoi faire des grillades pour le barbecue, des accompagnements, ce qu'on voulait.
Le matin même, je suis allée avec Ourson acheter de la viande en vrac que j'ai mise à mariner.
On osait pas l'avouer vraiment, mais vu la régalade que ça promettait d'être, ma viande, on avait pas super envie de la partager.
Mais bon, ça se fait pas, donc on était tous prêts à laisser héroïquement partir ma super viande marinée (avec une viande à bas prix ça relève de la prouesse technique) pour pas jouer les gros égoïstes.
Et le moment venu, on a été parmi les derniers à voir notre viande passer sur le barbecue -la politesse, toujours- et le gros père en face de nous est revenu avec une assiette pleine de barbaque. Nous, à ce stade, on pensait vraiment que la viande était en commun et que s'il revenait avec ça, c'était pour nous en proposer.
En plus il pose l'assiette bien au milieu.
Donc, ma mère, affamée, se saisit d'une saucisse, puis je tends la main pour choper une brochette. J'avais la main dessus, lorsque j'entends:
-En fait, c'est chacun sa viande.
Ah ouais. SUPER. Paye ton ambiance. En fait le gros père voulait pas qu'on prenne sa viande, prévue pour lui et sa femme (soit douze saucisses, quatorze brochettes et une dizaine de côtes de porc).
J'étais un peu humiliée quand même.
Au même moment, la mère goûtait la saucisse qu'il ne l'avait pas vue prendre et trouvait que c'était vraiment de la merde et essayait de la remettre sur l'assiette discrètement.
Donc j'ai reposé la brochette que j'avais à la main en me disant que ça se faisait pas trop quand même, et qu'on était bel et bien en face d'un gros con.
Avec Ourson, on a pris mes marinades, et on est allé squatter le barbecue, vu que tout le monde avait fini de faire griller ses brochettes au gras et au tendon.
Ça sentait trop bon sa mère quand on faisait cuire (ai-je dit que pour ma marinade j'avais du gingembre FRAIS?) et on est revenu, la bave aux lèvres, avec ma super trop bonne viande.
Là, j'étais plus trop en mode partage et échange, j'étais en mode "après moi s'il en reste". Surtout vis à vis du gros con d'en face. Donc j'ai servi largement ma mère, mon mec, moi-même, et j'ai gardé les restants devant nous.
Et là, surprise, hallucination, le gros con nous offre de sa viande.
Euh...
Il se foutrait pas un peu de notre gueule, là?
Si c'est chacun sa viande, pourquoi il nous en propose maintenant, alors que quand j'avais la main dessus, il m'a foutu la honte?
Il aurait pas besoin de se prendre mon pied au cul, par hasard?
Évidemment, on a refusé, ma mère rajoutant à mi-voix "y change d'avis comme de slip le péquenaud", et moi dévisageant sa viandasse en mode "nan mais jamais je boufferais cette merde".
Le gros con insiste:
-Nan mais on prévoit pour soi alors on prévoit toujours plus alors forcément on peut en donner aux aut'.
-Bah voyons. Mais on a pas besoin qu'on nous donne quoi que ce soit. (sous-titre: t'as pas besoin de me faire la charité, ducon).
Je crois qu'il était un peu gêné de ce qu'il s'était passé, parce qu'il nous a aussi offert de son cubi de rosé. (Cet homme était décidément d'un grand raffinement).
Devant ma mère, il y avait la bouteille de Vacqueyras qu'on avait apportée pour partager, mais vu l'ambiance de notre coin de table, bon...
J'ai refusé plus ou moins poliment parce que j'aime pas le vin (et encore moins celui qui ressemble à du récure-évier). En revanche, ma mère:
-Nan, c'est bon, j'ai MA bouteille.
Moi: Ah ben ouais au fait, si c'est chacun sa viande, c'est chacun son pinard!
Puis ma mère et moi avons gueulé à la cantonade que si quelqu'un voulait de la viande marinée, il pouvait se servir. J'en ai même proposé au gros con. Il a refusé.
Par contre, j'ai été largement félicitée pour la qualité de ma marinade.
J'étais assez d'accord.
Par contre c'est pas demain que je vais me sociabiliser.
En revanche, je vais quand même vous filer mes recettes de marinade employées ce soir-là:
La première, j'ai fait fondre 50 gr de miel cristallisé dans une casserole avec deux cuillères à soupe de moutarde. Le tout pour cinq côtes de porc.
Pour la seconde, j'ai mélangé 3-4 cuillères à soupe de sauce soja, le jus d'un citron vert, et des lamelles de gingembre frais. Tout ça pour six tranche de viande de porc sans os.
mardi 10 juillet 2012
Muffins pommes- confiture.
Ces muffins étaient l'improvisade totale, mais ils sont hyper bons. Je ne conçois plus le muffin aux pommes de la même façon, maintenant.
Appréciez mes petits moules à muffins mignons
Qu'est-ce que j'ai pris pour ça, plus précisément que "ce qu'il y avait dans les placards":
-Une tasse et demi de farine
-Un sachet de levure chimique
-Deux œufs
-Quatre petites pommes
-Deux cuillères à soupe de raisins secs
-Trois cuillères à soupe de miel (le mien s'était cristallisé)
-Une demi tasse de confiture (fraises et framboises de La Fraiseraie à Pornic)
-Une demi tasse de crème fraîche
-Une demi tasse de lait
-Un quart de tasse de beurre fondu.
-Un demi petit verre de porto
-Environ 25 grammes de beurre salé.
-Une cuillère à soupe de cannelle.
Les étapes:
J'ai commencé par éplucher et couper en dés mes pommes, aussitôt mises dans une casserole. J'ai rajouté le beurre salé en morceaux, et le miel, puis j'ai mis au feu. Très vite, les pommes ont rendu du jus donc il n'y a pas eu besoin de rajouter de l'eau pour les laisser confire gentiment. À ce stade, j'ai rajouté la cannelle et les raisins secs et j'ai laissé à feu très doux.
Quand les morceaux ont ramolli mais avant la consistance compote, retirer du feu, et laisser refroidir.
Quand j'ai préparé mes pommes, il était pas mal tard et j'étais fatiguée donc je les ai emballées et laissées au frigo jusqu'au lendemain mais ça n'est pas obligé.
Quand j'ai préparé mes pommes, il était pas mal tard et j'étais fatiguée donc je les ai emballées et laissées au frigo jusqu'au lendemain mais ça n'est pas obligé.
Tâ-dâ!
Pour la pâte, j'ai tout bêtement versé la farine dans un saladier, avec la levure, les œufs, la crème fraîche, le lait. Je conseille de verser le lait à mesure, pour que le résultat ne soit pas trop liquide. Ça doit ressembler à une pâte à muffin, pas à un flan.
Rajouter à ce moment là la confiture et les pommes. Bien mélanger, répartir dans des moules à muffins, cuire 30 minutes à 180°
Rajouter à ce moment là la confiture et les pommes. Bien mélanger, répartir dans des moules à muffins, cuire 30 minutes à 180°
dimanche 8 juillet 2012
Riz au citron
C'est pas grand chose mais je trouve que ça change du riz tout blanc, et comme c'est pas compliqué à faire, je trouve que ça donne une autre gueule à un dîner (si vous voulez faire plaisir à votre maman ou votre amoureux) à peu de frais.
Pour du riz blanc pour deux personnes, que faut il:
-Le jus d'un demi citron
-Deux cuillères à soupe d'huile d'olive
-Une cuillère à café de curry en poudre
-Une cuillère à café d'herbes de Provence ou de basilic séché.
Une fois le riz cuit selon les indications du paquet, mélanger tous les ingrédients dans la casserole de cuisson du riz, faire chauffer deux à trois minutes, puis replacer le riz dans la casserole et bien mélanger.
Servir aussitôt.
Servir aussitôt.
samedi 7 juillet 2012
Tarte à la courgette
J'ai trouvé cette recette sur le blog cuisine de Simone de Bougeoir, en la réadaptant parce que je n'aime pas le roquefort.
Par contre, j'ai bien aimé le fait de remplacer la pâte feuilletée ou brisée par une pâte à pain faite maison: aucun risque de détrempage, et comme c'est bien moins gras, c'est mieux (dit la fille qui fait des baklava).
Pour la pâte à pain, j'ai pris deux cent grammes de farine, trois ou quatre cuillères à soupe de pavot, et un sachet de levure de boulanger. Puis, j'ai pétri avec de l'eau tiède.
Peut être que tout le monde le sait et que je suis un peu concon de l'avoir compris si tard, mais quand on pétrit une pâte, on prévoit de l'eau tiède dans une tasse à côté, sans mesurer. Juste prévoir en quantité suffisante, après tout, si on jette le surplus après, c'est que de l'eau. Et on rajoute l'eau à mesure du pétrissage, jusqu'à ce que ça forme une boule souple et qui ne colle plus.
Là, il faut laisser reposer une heure.
L'astuce ultime que j'ai trouvée, c'est de mettre le saladier qui contient ma pâte à lever sur ma machine à laver en mode séchage. Comme elle est super chaude, c'est presque comme si la pâte levait dans un four de boulanger, et ça marche méga bien comme ça.
Peut être que tout le monde le sait et que je suis un peu concon de l'avoir compris si tard, mais quand on pétrit une pâte, on prévoit de l'eau tiède dans une tasse à côté, sans mesurer. Juste prévoir en quantité suffisante, après tout, si on jette le surplus après, c'est que de l'eau. Et on rajoute l'eau à mesure du pétrissage, jusqu'à ce que ça forme une boule souple et qui ne colle plus.
Là, il faut laisser reposer une heure.
L'astuce ultime que j'ai trouvée, c'est de mettre le saladier qui contient ma pâte à lever sur ma machine à laver en mode séchage. Comme elle est super chaude, c'est presque comme si la pâte levait dans un four de boulanger, et ça marche méga bien comme ça.
Une fois que la pâte à pain est prête, il est temps de se préoccuper de la garniture:
-Une grosse courgette
-Un petit bloc de 150 grammes de feta
-Trois cuillères à soupe de moutarde
-Deux oeufs
-15 cl de crème fraîche allégée
-Sel, poivre, herbes de Provence.
Éplucher et râper la courgette. Émietter le bloc de feta, mélanger aux oeufs, à la crème fraîche, et aux épices.
Étaler la pâte à pain une fois levée, et la placer dans un plat à tarte. La cuire un petit quart d'heure avec un papier sulfurisé et des haricots secs ou des petits cailloux, pour éviter comme moi d'avoir un fond de tarte bombé.
Étaler la pâte à pain une fois levée, et la placer dans un plat à tarte. La cuire un petit quart d'heure avec un papier sulfurisé et des haricots secs ou des petits cailloux, pour éviter comme moi d'avoir un fond de tarte bombé.
À la sortie du four, badigeonner de moutarde, puis verser la préparation à la courgette.
Cuire au four à 180° en surveillant, comme ça ne se colore pas, il faut juste vérifier que ça n'est plus du tout liquide. Et là c'est bon.
dimanche 24 juin 2012
Chou-fleur à la chapelure
Prise d'une frénésie de plats que je ne fais jamais, j'ai fait moi même des pelmeni il y a deux jours. J'ai pris la recette là, chez la Cocotte, et c'est très bien expliqué, pas besoin de recopier ce qu'il y a chez elle.
Mais moi, l'été dernier, en Pologne, la grand-mère et la tante d'Ourson m'ont appris à faire du chou-fleur à la chapelure.
C'est pas compliqué, mais je n'y aurais jamais pensé toute seule.
On commence par faire cuire le chou-fleur dans un bouillon cube de légumes. On réserve.
Dans une casserole bien sèche, sans matière grasse, on verse la chapelure (un verre pour deux personnes suffit largement). Avec une cuillère en bois, en remuant toujours et surtout SANS S'ÉLOIGNER DE LA CASSEROLE SURTOUT, il faut faire griller la chapelure. À côté, faire fondre cinquante grammes de beurre. Quand la chapelure a pris la bonne couleur (celle d'un caramel bien foncé), verser le beurre fondu. Remuer un peu, verser aussitôt sur le chou-fleur réservé.
Et là, miracle, ça croustille!
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