mercredi 29 février 2012

Un ptit café? Une recette d'Ourson

Cette recette ne concerne que les cafetières à filtre. 
Je vous mets les proportions pour une cafetière pleine, de huit à douze tasses. Si vous aimez modérément le café, ou si vous avez envie de changement, ou d'un truc qui vous remue le matin, ceci est pour vous. Et même si vous adorez le café, testez. Ça vaut la peine. 

On a essayé plusieurs façons de procéder, et Ourson et moi pensons que c'est celle là la meilleure.
Il vous faut: huit doses de café moulu, trois graines de cardamome verte, deux pincées de cannelle, deux pincées de muscade. 

On commence par mettre un filtre dans la cafetière. Puis, avant de mettre le café, on met une graine de cardamome décortiquée, une pincée de cannelle, et une de muscade. On verse la moitié du café moulu, soit quatre doses. Là, on rajoute les deux autres graines de cardamome décortiquées, le reste de cannelle et de muscade. Et par dessus, l'autre moitié du café moulu. On place dans la cafetière, et on fait couler le café normalement.
Et c'est tout!

mardi 28 février 2012

Soupe mexicaine

Y a des fois, comme ça, on se dit qu'on a pas de bol et qu'on les cumule: moi, par exemple, je râlais depuis quelques temps que j'étais patraque, que j'avais mal au ventre (putain d'hormones), j'étais facilement triste et déprimée (les hormones, c'est naze). Et bien voilà: cet état de santé pas terrible a enfin abouti à quelque chose: j'ai eu la grippe!
Youpi.
Mais cette fois, j'ai pris mes précautions, pas comme la fois  où j'ai tellement laissé traîner mon angine qu'un peu plus et je me retrouvais à l'hosto, et j'ai transformé mon sac à main en armoire à pharmacie.
Effet secondaire parmi tant d'autres: je ne sentais plus le goût de rien. Mon porc à l'ananas a pu être une merveille ou lamentable, je n'en ai rien su, pour moi, il ressemblait à du carton. Comme le riz qui l'accompagnait, comme le chocolat au caramel à cuire qu'on s'est envoyé ensuite avec Ourson.
C'était déprimant. J'avais faim, mais sitôt les premières bouchées avalées, ça m'ennuyait de manger.
Dès que ça a été un peu mieux, je me suis dit que ce qu'il me fallait, c'était un plat avec plein de couleurs. On s'en fout que ça goûte rien, profitons pour rajouter plein de poivre et d'épices, au moins ça fera plaisir à Ourson.

Faut quand même se méfier. La dernière fois que j'ai eu une illumination en mode "je veux de la couleur! je veux de la vitamine! JE VEUX CRÉER!!!", j'ai mixé sept gousses d'ail avec un quart de chou rouge et deux verres d'eau. (Pour ma défense, niveau fièvre j'en étais presque à 40°)
Inutile de vous dire que dès que j'ai recouvré un quart de poil de soupçon d'odorat, cette magnifique soupe violette s'est révélée absolument dégueulasse. 

Là, j'étais quand même mieux niveau fièvre, et d'après Ourson (puisque je ne sentais toujours pas le goût des choses, bah oui), c'était très bon.

Ingrédients: 
-150 grammes de viande de bœuf hachée
-4 petites tomates ou deux grosses
-Un oignon
-Un petit poivron rouge
-Une boîte moyenne de haricots rouges
-Une petite boîte de maïs
-Deux cuillères à soupe d'huile d'olive
-Deux cuillères à soupe de sauce soja
-Une cuillère à café de cumin, une de paprika, une demie de poivre et une entière de gingembre.

Faire revenir l'oignon émincé dans l'huile d'olive (le tout dans une grosse casserole). Rajouter la viande de boeuf jusqu'à ce qu'elle ne soit plus rosée. Ajouter les tomates coupées en dés, le poivron, bien remuer, mouiller à hauteur, rajouter les épices et la sauce soja, et laisser mijoter une bonne demi heure.
Mon conseil, c'est  de rajouter le maïs et les haricots en conserve cinq à dix minutes avant la fin, comme ça ils gardent un semblant de croquant.

lundi 20 février 2012

Poulet à l'orange

Une petite recette vite fait, en dépit d'une vache de migraine et d'un coup de blues saisonnier, j'aime ma vie
Mais ça fait deux fois que je fais cette recette, qu'elle est méga bonne, et la première fois, j'avais oublié de la publier. 
C'est parti: 

Ingrédients
-Deux cuisses de poulet
-Deux oranges
-Une cuillère à soupe de sauce hoisin
-Deux cuillères à soupe de miel
-Une cuillère à café de gingembre

Dans une petite casserole, chauffer le miel avec le jus des deux oranges, la sauce hoisin et le gingembre. 
Dans un plat à couvercle (ou sinon vous mettez un papier alu), déposer un filet d'huile d'olive, le poulet, et la sauce chauffée.
Cuire une bonne heure et demie à 180 degrés.

samedi 18 février 2012

Croquettes de poisson

J'ai un problème avec la semoule. À chaque fois que j'ai une "lubie couscous" en faisant mes courses, j'en rachète un paquet. Sans me souvenir que j'en ai déjà deux chez moi... 
Donc là, en quête de solution pour passer cette semoule sans la jeter (c'est la crise, mes bons amis. Et en tant qu'ancienne boulimique, je refuse de jeter de la bouffe) (sauf si c'est tellement périmé que ça court tout seul). 
Et là, l'idée la plus miraculeuse que j'ai eue, ç'a été des croquettes de poisson. Pourquoi ne pas tout bêtement remplacer le riz par la semoule.
Bon, à pas cher, vide-placard. Le trio gagnant. 

Ingrédients: 
-Deux pavés de cabillaud congelé
-3/4 de verre de semoule grains moyens
-Un oeuf
-Une demi cuillère à café de cumin autant de paprika et de gingembre
-Une cuillère à soupe de moutarde (je voulais mettre mais j'ai oublié)
-Sel et poivre

Faire cuire le poisson dans de l'eau bouillante jusqu'à ce qu'il s'émiette tout seul et égoutter. Faire gonfler la semoule dans deux fois son volume d'eau bouillante. Quand ça a bien gonflé, égrener à la fourchette.
Quand tout est suffisamment froid pour être manipulable, patouiller le poisson émietté avec les épices, la moutarde, le sel et le poivre, et l'oeuf, évidemment. Rajouter la semoule et malaxer jusqu'à ce que ça devienne assez compact.
Faire des boules aplaties et les frire dans de l'huile d'olive chaude. 
J'ai servi avec des carottes râpées maison (avec une râpe à main, je tiens à le souligner), et ma vinaigrette inratable.

mercredi 15 février 2012

Gâteau de la Saint Valentin

Dans ma grande bonté, je vais aussi vous parler du gâteau que j'avais fait l'année dernière, qui n'était vraiment pas compliqué. 
J'avais commencé par faire une génoise, dont j'avais trouvé la recette sur Marmiton. Je l'avais cuite dans mon grand moule à manqué (celui qui me sert aussi pour les tartes, c'est vous dire s'il est grand). Là dedans, j'avais découpé un cœur, le plus grand possible, cœur que j'avais coupé en deux (en largeur, hein: de façon à avoir deux cœurs tous plats après). Au milieu, j'avais tartiné d'une crème de mangue faite de mangue bio en conserve mixée avec un peu de crème fraîche et de sucre (si c'était à refaire, je rajouterais du gingembre, pour que ça aie du goût quand même), et j'avais refermé. 
Avec un bloc de pâte d'amande et du colorant, j'avais essayé d'obtenir quelque chose d'uniforme que j'aurais ensuite aplati. C'était raté. Alors j'ai mis ça comme j'ai pu sur les cœurs, et j'ai caché les trous avec des roses en sucre du commerce. 
Voilà, c'était pas mythique, donc.

Cette année, je suis quand même un peu plus sûre de moi, et mieux dans ma tête. La preuve? j'ai fait mon gâteau de la Saint Valentin à l'arrache, avec ce que j'avais sous la main. Et c'était hyper bon.

Le gâteau au chocolat, base de départ: 
-200 grammes de chocolat à cuire, moitié noir, moitié au lait et caramel
-200 grammes de beurre (en vrai, c'était moitié vrai beurre, moitié huile végétale
-200 grammes de sucre (j'avais pas. Alors j'ai jaugé à la louche, et j'ai mis 100 grammes de miel et 100 grammes de mélasse noire).
-5 oeufs. Ça, j'avais!
-100 grammes de farine (ça aussi)
-Un sachet de levure

Faire fondre le beurre et le chocolat dans une casserole. Dans un saladier, battre les oeufs et le sucre jusqu'à ce que le mélange blanchisse. (Sachant que j'utilisais de la mélasse noire, inutile de dire que je n'y suis pas arrivée...). Verser le chocolat fondu dans le deuxième mélange et mélanger. Rajouter la farine et la levure et bien mélanger derechef.

Comme c'était la Saint Valentin, et que Ourson aime bien, j'ai rajouté une grosse cuillère à café de gingembre.
Verser dans le moule à manqué et cuire 25 minutes à 180°.
Le lendemain, le jour J, toujours en puisant dans mes fonds de placard, j'ai bidouillé un mélange de lait de coco et de sucre glace, jusqu'à obtenir une espèce de pâte.
J'ai coupé un coeur dans le gâteau, et deux petits coeurs dans une chute de gâteau, et j'ai coupé le grand coeur en deux pour placer le fourrage à la noix de coco.
J'ai refermé, j'ai mis à fondre un sachet de glaçage au micro onde, que j'ai répandu sur le gâteau, en lissant les côtés à la spatule en silicone. J'ai disposé les petits coeurs, et saupoudré de sucre glace.

Et du coup, on aurait cru manger un gâteau bounty, mais en meilleur.

lundi 13 février 2012

Poivrons farcis

C'est encore dans une recette de mon enfance que je suis allée chercher celle qui ferait un peu changement dans ce qu'on mange, Ourson et moi. 
A ceci près que, même si je me souviens très bien des poivrons et aubergines farcies qu'on mangeait avec ma mère (mon père, lui, avait des patates), je ne sais plus du tout ce qu'il y avait dedans. (et par un curieux hasard, je foire systématiquement mes pommes de terre à l'eau).
J'ai donc dû réinventer toute seule. 
Ça n'était pas exactement comme dans mon souvenir, mais c'était hyper bon, et super abordable. 
Je ne vous ai pas dit, mais le Monop et moi, on est fâchés. Disons pour résumer que j'en ai un peu ras le bol de me faire fouiller mon sac comme une reprise de justice. Et comme je ne vais pas changer le monde, j'évite de refiler mes sous à des crevards qui ont fait de l'humiliation publique leur fond de commerce. 
J'ai donc redécouvert les courses en ligne, non plus avec Intrafoire, mais cette fois ci avec LointainMarché. Ben honnêtement, c'est pas plus l'arnaque que chez Monop, voire moins, ils m'ont refilé un exemplaire de Grazia, et comme ça j'ai appris que côté coeur, Ourson avait Neptune dans le poisson (quel coquinou ce Neptune), et en plus, leur livreur s'est amené avec un bonnet à pompon. 
Je ne sais pas ce qu'il me faut de plus. 

Ingrédients:
-4 petits poivrons (id est: pas des mastodontes à farcir avec une livre de viande chacun, mais pas des piments non plus)
-200 grammes de viande de boeuf hâchée (celle congelée en vrac de chez U)
-2/3 de verre de riz cru
-Un oeuf
-1 cuillère à café de cumin et une de paprika
-Sel et poivre. 
-Un bouillon cube. (cette fois, un Bouquet garni de chez Knorr)

Procédons: 
On commence par découper tout autour de la queue du poivron, de façon à le garder entier, et là on commence à se galérer grave pour virer tous les pépins et l'espèce de partie blanche, je sais pas comment ça s'appelle mais ma mère m'a toujours dit que c'était pas bon. 
Puis on met son bouillon cube dans une casserole d'eau bouillante, et on fait cuire le riz. Ceci fait, on attend que ça refroidisse un peu, puis, on mélange avec sa viande hachée qu'on a habilement fait décongeler en avance. On rajoute l’œuf, les épices, le sel et le poivre, qui peuvent aussi être considérées comme des épices, d'après le spécialiste des échanges médiévaux que j'ai à portée de mains. 
Et on patouille. 
Une fois que c'est bon, on farcit ses poivrons, qu'on essaie de placer dans un plat en les maintenant à la verticale. Du coup, un plat pas trop grand avec des bords hauts peut être chouette.
On laisse 40 minutes à 180 degrés.

vendredi 10 février 2012

Biscuits quinoa chocolat

Je vais très régulièrement sur le blog des Mennonite girls, et autant j'ai envie d'essayer quasiment toutes leurs recettes, autant le post hebdomadaire "Bread for the journey" me laisse parfois perplexe. D'accord, il s'agit d'un petit article pour célébrer le jour du Seigneur en mettant en avant un court passage de la Bible. Les Mennonites, contrairement à moi qui ait ouvert une Bible pour la première fois à dix huit ans, et c'était pour mes études (n'empêche que je suis incollable en Bible, maintenant), baignent dans les Ecritures depuis qu'elles sont en âge de raisonner. 
Sauf qu'au moment de parler du passage de la multiplication des pains (franchement c'est vrai que ça pète), qu'elle avait étudié à son groupe de lecture biblique, tout ce que cette brave dame trouvait à dire, c'était, en somme: "ah ben quand même il était fort Jésus, s'il revenait il n'y aurait plus de faim dans le monde", sans mentionner à un seul moment que le vrai miracle de la multiplication des pains, il est dans le partage. Pas besoin du retour de Jésus, si on partage tous la bouffe, il n'y aura plus de faim dans le monde!
Pis faut arrêter avec le retour de Jésus, hein. Il y avait un autre article où une autre du lot se demandait ce qu'elle ferait si Jésus était à sa table, ce qu'elle lui servirait et ce qu'elle lui dirait.
Sauf que: 
-Sincèrement, je vois mal le fils de Dieu avec une serviette autour du cou en train de gueuler "eh Jean tu feras tourner le pinard tu seras gentil" (c'est comme ça que je m'imagine la Cène, m'emmerdez pas je suis en pleine quête spirituelle en ce moment).
-Qu'est-ce que tu veux dire à Jésus à part "alors, ça fait quoi d'être en slip dans toutes les églises?"
-Si Jésus est revenu, c'est que c'est la fin du monde et à mon avis, on se préoccupera plus trop de ce qu'il y a à bouffer. (d'autant que ceux qui, comme moi, n'auront pas été foutus de reconnaître l'Antéchrist seront un peu dans la merde) (on me signale dans l'oreillette que les Sex Pistols et Marilyn Manson, ça ne compte pas).

Ceci pour dire que quand certaines se demandent ce qu'elles diraient à Jésus si elles le voyaient ("t'es au courant que la tunique c'est out of mode depuis 2004, banane"), moi, je me demande ce que je ferais si mes enfants étaient intolérants au gluten, chacun ses préoccupations.
Et comme ça me perturbait, j'ai bidouillé des biscuits à la quinoa, garantis sans gluten.
Le petit souci c'est que j'ai pas encore de gosse parce que j'ai pas que ça à faire ce n'est pas trop le moment.
Que voulez vous, en dépit des blogs cuisine "famille traditionnelle" que je m'envoie à longueur de journée, j'en suis pas encore à me voir comme une poule pondeuse...

M'enfin bon, si bébé-psychopathe allergique au gluten je devais avoir, je suis prête! (qu'on ne me dise pas que je ne suis pas organisée)

Ingrédients: 
-Un verre de quinoa
-De la poudre d'amande
-Un oeuf
-5 cl d'huile végétale
-5 cl de lait
-50 grammes de sucre
-Des carrés de chocolat (moi, au lait à cuire ou lait et caramel à cuire)

Faire cuire la quinoa dans un grand volume d'eau jusqu'à ce qu'elle ait bien gonflé. Egoutter. Verser dans un saladier, rajouter l'oeuf, le sucre, l'huile et le lait, et mélanger. Rajouter de la poudre d'amande jusqu'à ce que la pâte se décolle des parois. Genre, si vous en aviez envie, vous feriez une boule avec.
Déposer sur une plaque de cuisson avec une cuillère à soupe des petits tas de la préparation et déposer un carré de chocolat sur chaque. Passer au four 20 minutes à 180 degrés.

Salade au saumon fumé de Krolik

Double raison de me réjouir avec cette salade: primo, je n'ai pas eu à me casser la tête pour trouver la recette, parce qu'elle vient de la maman d'Ourson, secundo, je n'ai pas eu à me casser la tête pour faire la recette, parce que c'est Ourson qui s'en est occupé.

Et ça, ça parle à mon petit cœur de feignasse.

Boh, j'ai quand même été mobilisée pour des questions cruciales comme les croûtons maison ou le découpage des cornichons, c'est pas comme si j'avais rien fait. 



Ingrédients:
- 200 grammes de saumon fumé
-1/2 oignon (ou alors un petit)
-Du chou chinois cru (pour moi, environ le quart d'un chou chinois)
-Champignons de Paris cru (une demi douzaine venus d'une conserve)
-Croûtons à l'ail (une demi baguette)
-Oeufs durs (trois)
-Poivron rouge (la moitié d'un)
-De la feta au goût

J'ai pas trop détaillé les quantités dans la mesure où c'est assez libre, il faut y aller au feeling... Mais pour celles et ceux qui ont besoin d'une liste précise, j'ai rajouté celles prises par Ourson.
Et maintenant, laissez moi vous parler de nos croûtons à l'ail.
En fait, cette recette a été suggérée par Ourson pour passer le pain dur qui traîne chez moi, mais que je n'arrive pas à jeter, au prix que ça coûte. 
Sauf qu'il me restait une baguette entière, et également entièrement durcie. 
Ce qui signifiait en substance qu'on allait en baver du coriace pour la découper en délicats croûtons. 
D'ailleurs, j'ai commencé par avoir deux idées géniales: fracasser la baguette sur mon comptoir de cuisine, ce qui a eu pour conséquence d'éparpiller des miettes de pain partout autour de moi, d'en faire voler une moitié qui a frôlé la tête d'Ourson, et de renverser mes flacons d'épices. 
Après, j'ai voulu me la faire au marteau, ce qui a eu pour conséquence de mettre des miettes partout autour de moi (mais pas au même endroit de mon studio).
C'est là qu'Ourson s'est décidé à prendre les choses en main (sinon, on serait allé chercher les croûtons au fond du sac de l'aspirateur le pain à la poussière, une des meilleures recettes de La cuisine des Communards), et il a tout découpé avec le couteau de voyou qu'il a toujours dans sa poche.
Il paraît qu'en fait c'est un couteau de plouc. Mais moi, j'aime trop le côté bad boy que ça lui donne, donc je dis couteau de voyou, et puis c'est marre.
Quand il m'a tout découpé (et franchement c'était hyper bien fait) on a mis ça dans un plat allant au four, on a arrosé d'huile d'olive, et saupoudré d'ail en poudre. On a laissé je sais pas combien de temps au four à 200°, mais en surveillant.

Puis il a tout mélangé dans un saladier, et c'était hyper bon.